mercredi 25 mai 2011

AÏE...ROBOT

Après la misère sexuelle du libidineux de Sarcelle, voilà venir "la mécanique de la misère" assez semblable à vrai dire, puisqu'à mon humble avis elle se traduit par le fait de croire qu'on vit dans une démocratie alors que la vraie liberté dont on puisse jouir, est celle de la consommation à outrance...pour ce qui est des autres? elles s'amenuisent de jour en jour!
Ou, pour faire plus court, comment sommes nous arrivés à confondre bonheur et plaisir?

Aucun commentaire: